Nous sommes a Baker Street, et je me souvient de l’entrée du docteur Huxtable dans le bureau de Holmes comme si c’était hier. Le premier geste qu’il fit lorsque la porte se referma derrière lui fut de s’avancer vers le bureau pour s’appuié mais il s’écroula sur le tapis. Holmes lui glissa un coussin sous la tête et moi du cognac entre les dents. Holmes trouva un billet de retour vers le nord de l’Angleterre, Mackleton exactement. Quelques instant plus tard, il était debout. Il nous demanda de bien vouloir l’excuser de ce petit malade et réclama a Holmes un verre de lait et un biscuit quand il vint a discuter de la raison de sa visite si inattendu. Le docteur nous annonça la disparition du fils du duc d’Holdernesse. Holmes regarda dans l’encyclopédie H ce qu’ils nous été dit sur le duc d’Holdernesse. Il me regarda et m’affirma que nous accompagnerons le docteur pour son retour dans le nord. Quand notre visiteur repris de la couleur il nous expliqua la situation:
« L’enfant arriva a l’école du Prieuré le premier mai. Si il s’était retrouver dans cette école c’est parce que le père du petit et la duchesse s’était séparer et que le petit préférer aller avec sa maman. N’étant pas heureux chez lui, son père nous l’envoya. Mais je peux vous dire qu’au bout de quinze jours l’enfant ce sentait entièrement chez lui. Le 13 mai au soir nous le voyons pour la dernière fois. On a constater sa disparition le lendemain matin a 7heures. Il n’a pu partir que par sa fenêtre qui était ouverte, a l’aide d’un gros lierre qui descend jusqu’en bas. C’était la seule issue possible car pour accéder a sa chambre il faut passer par une autre et les deux élèves qui y dorment on affirmer n’avoir rien vu, ni entendu. Dés que la disparition fut découverte je fis rassembler tout l’établissement, élèves, professeurs et domestique. C’est ainsi que l’on découvrit qu’il n’avait pas fui tout seul. Le professeur Heidegger manquait a l’appel. C’était un professeur d’allemand. »
Holmes posa plusieurs questions, notamment sur l’enquête, les relations entre le professeur et l’élève,comment sont ils partis… Il demanda aussi les relations entres lord Saltire et le duc. Celui ci avait envoyer une lettre a son fils la veille de sa disparition, mais en n’avait point reçu de France et n’avait eu aucune visites. Le but de ses questions été de savoir si l’enfant avait été enlevé de force, ou partie de sa propre initiative. Sinon le deuxième possibilité est qu’il fut encourager de l’extérieur a partir. C’est pourquoi il essai de savoir qui sont ses correspondants qui, malheureusement ne sont pas nombreux car il n’y a que son père. Nous partîmes alors pour le Nord de l’Angleterre pour trouver d’autre indices.
Nous arrivâmes dans la soirée a l’école du docteur Huxtable ou nous furent accueillit par le duc et son secrétaire particulier M. Wilder. Ce fut lui qui ouvra la conversation d’un ton incisif et catégorique. Ils ne voulaient pas qu’on viennent, ou du moins que M. Huxtable les préviennent. Mais nous savions deja tout c’est pourquoi le duc nous permit de rester et de profiter de nos services. Holmes en profita pour poser quelques questions au duc sur ce qu’il pourrait savoir sur la disparition de son fils. Il lui demanda notamment s’il pensait que son fils ait pu envi de partir pour aller rejoindre sa mère, mais le duc n’y pensait pas vraiment même si, il reconnait que le garçon en avait envi. Le duc et M.Wilder partie, ce qui permit a Holmes d’aller enquêter dans les chambres. Il alla chercher des indices a l’extérieur aussi, il ne revint pas avant onze heures du soir.
Quand il arriva enfin, il posa une carte sur mon lit. Nous l’examina tous les deux et Holmes m’informa des informations qu’il avait pu recueillir. On pouvait éliminer la fuite par l’est car il y a un garde qui affirme ne pas les avoir vu. On pouvait éliminer l’ouest aussi car il y a une auberge qui a attendu un médecin toutes la nuit pour la patronne et la aussi ils affirment n’avoir personne passer. Ils nous rester le sud et le nord. On déduit vite qu’ils furent partie par le nord car le sud est une grande lande ondulée de petit champs séparés par des murs donc ils n’ont pas pu partirent par la avec une bicyclette. Le nord est la lande de Bas-Jabot d’une quinzaine de kilomètres en pentes douce. Nous étions encore en train d’examiner la carte quand on frappa a la porte. C’était le docteur Huxtable avec une casquette a la main. Elle a été retrouver dans la roulotte de bohémiens, qui expliquent qu’ils l’ont trouvée mardi et qu’ils n’ont jamais vu l’enfant.
Nous reprîmes les recherchent le lendemain. C’était une grande journée qui nous attendait. Quand je me réveilla, Holmes été déjà prêt il m’attendait, il avait surement déjà fait un tour dehors. Nous arrivâmes a la bordure verte du marécage qui nous séparer du château d’Holdernesse. A cet endroit nous commençâmes a chercher des indices qui pourraient nous amener a lord Saltire. C’est au bord du marécage qu’Holmes trouva des traces d’une bicyclette mais ce n’était pas celle du professeur. Il y avait aussi des traces de vaches qui recouvrèrent a un moment la trace de bicyclette que nous suivions. Après s’être quelques minute pour réfléchir,Holmes se leva et décida d’aller examiner l’autre partie du marécage que nous n’avions pas encore examiner. Et la il poussa un cri de joie, au sol il y avait de fine trace qui ressemblais un fin réseau de fils télégraphique. Mais non !! C’est des traces de pneu Palmer, celle de la bicyclette du professeur d’allemand. Nous suivâmes les traces pendant un moment même si par moment on perdait la trace. On la retrouver toujours apres. Au bout d’un moment nous découvrâme un longue trace. Il était tomber. Holmes me montra une branche d’ajonc tout froiser. J’y aperçu avec horreur des taches écarlates. Sur le sol il y en avait aussi. C’était du sang caillé. sa avait du mal tourné pour M. Herr Heidegger. Il ne pouvait plus nous échapper maintenant. Et effectivement les recherches ne durerent pas longtemps. Parmi les touffes de jonc, j’aperçu un éclair de métal. On retira des buissons une bicyclette avec une pédale tordu et l’avant tout abimé. Plus loin, nous trouvâmes un soulier qui dépasser des buissons. Nous nous en approchâme et découvris un cadavre qui avait reçu un coup tellement violent que sa lui avait défoncer le crane. Le malheureux ne portait pas de chausettes et avait une chemise de nuit. C’était le professeur d’allemand. On en était sur car en partant il n’avait pas pris le temps de s’habiller. Sur de notre découverte nous envoyons un mot au docteur Huxable pour que lui puisse prévénir la police. En trouva le corps du professeur, nous en deduisions que le petit n’avait pu partir seul vu le coup que le professeur avait reçu a la tête. Le lord Saltire n’était pas seul, quelqu’un l’accompagné et avait tué le professeur. Nous continuâme nos recherches a partir des autres traces de pneus que nous avions trouver mais nous les perdîmes au bout d’un certain temps. D’ou nous nous trouvions, nous pouvions apercevoir la plus haute tour de chateau. Plus bas il y avait une auberge avec un coq sur la pancarte. Nous étions en direction de l’auberge quand Holmes s’agripa a mon épaule en pousant un petit gémissement. Il venait de se tordre la cheville. Malgré sa douleur, nous continuâmes le chemin. En arrivant devant l’auberge, nous nous retrouvâme devant homme figé qui fumait sa pipe. Holmes ne pouvant posai le pied a terre demanda a M. Ruben Hayes, le patron de l’auberge, si il n’avai pas une bicyclette, ou une voiture. Malheureusement il n’avait rien de tout sa, juste des chevaux. La nuit commencait a tomber donc nous decidâme de manger sur place. La Holmes trouva la solution au probleme des nombreuses trace de vaches nous avion rouver au marecage. Ce n’éait pas des vaches mais des chevaux avec des sabots de vaches, il vient a cette conclusion car les traces laisser n’était jamais les même, signe qu’il y avait un changement de rythmes dans le pas des vaches ce qui es impossible, donc la conclusion est que se sont des chevaux. Mais pour vérifier out cela nous fîme un tour dans l’écurie ou nous rouvame deux cheveux avec sous les sabos de vieux fer mais avecde nouveau clou, ce qui paraissait louche. Mais nous nous faisons surprendre par M. Hayes qui nous força de partir avec un fusil a la main. Donc nous reprime la route a pieds. Quand on fu en de porer du regard de Hayes on sortie de la roue et on se cacha car quelqu’un arriver en velo. Holmes le reconnut ! C’était le secréaire du duc, M. Wilder. Il s’arreta a l’auberge et y entra. Nous, nous nous mirent a un endroit d’ou l’on pouvait voir l’entree de l’auberge mais pas les visages des personnes a l’interieur. Plus tard une voiture parti en direction de Chesterfield. Puis quelqu’un arriva par la route a pieds. Il avait rendez-vous avec quelqu’un de l’auberge. Au premier étage s’allume et nous ne pouvions pas voir qui étais-ce. Nous profitions qu’il n’y ai plus personne pour nous approcher. Holmes grata une allumette pour mieux voir le pneu. Sans surprise c’éait un pneu Dunlop. Le pneu qui avait laisser des traces au marecage. Holmes me demanda de lui faire la courte echelle pour voir a travers la fenetre. Quand il redescendi nous nous remires en route.
Le lendemain nous nous rendime au chateau pour parler au duc. Nous attendions une demi heure avant de voir apparaitre le duc et de pouvoir lui parler. Je demanda aussi que M. Wilder parte pour pouvoir parler seule a seule au duc et avec Holmes bien sur. Nous lui annoncerent que nous savions ou ete sonfils et qui l’avée kidnaper. Mais avant de ou lui expliquer, Holmes demande le cheque de recompense comme avait promi le duc. Le duc accepe et lui fait un cheque de 6 milles livres. Le cheque empocher, Holmes annonce au duc que son fils est a l’auberge diriger par M. Hayes. Holmes va jusqu’a dire que lui même est complice dans cette histoire et qu’il le savait. Il en profite aussi pour lui dire que nous avions prevenu la police et qu’ils sont reussis a retrouver M.Hayes et qu’ils l’ont arreter. Le duc avoue, effectivement il est au courant, il nous dit même que c’est un chantage de M.Wilder qui est en fait son fils illigitime. Il nous raconte toute l’histoire:
« M.Wilder, jaloux que ce ne soit pas l’heritier, kidnappe Arthur, Lord Saltire, en lui dissant que sa mere est la et qu’il peut la voir Dans les marrecages. C’est pourquoi il est partie de l’école. Il m’a dit que je pourait revoir Arthur que si je faisait de lui mon héritier légitime. C’est aussi a cause de Wilder que mon ménage a mal fini. Mais je ne pouvait pas separer de lui car il me rappelle sa mere, ce qui prolonge ma douleur. Enfin quand Wilder a appris que Hayes avait tuer le professeur d’allemand, il est venu tout m’avouer et m’a permi de voir le petit Saltire a l’auberge ou l’avait enmenner Hayes. Quand il m’a tout avouer c’est au moment ou Hayes c’est enfui. »
Mais Holmes lui rappelle que indirectement c’est lui qui a fait liberer Hayes en donnant de sa propre bourse de l’argent. Nous faisont appeler quelqu’un pour aller cherhcer le petit lord Saltire en attendant que nous finissons de regler cette histoire. Le fils du duc est liberer, nous ne disons rien a la police et en contre partie nous enpochons le cheque de récompense promi par le duc.