Portfolio de lettres-histoire d' Anaëlle

La vague (Die Well) avril 1, 2010

Filed under: Uncategorized — floraline86 @ 8:24

C’est la semaine du projet, Rainer, un professeur, fait sur l’Autocratie. Avec ces éléves il parle de ce qu’est l’autocratie. Un éléve lui dit qu’ il ne peut plus il y avoir de dictature en Allemagne. C’est alors qu’ils se mettent un crés une communauté. Rainer se fait appelé M.Winger, c’est lui le chef. Les éléves doivent s’habiller en jean’s et tee-shirt blanc. Ils vont jusqu’a appelé leur communauté la Vague, a faire des sites internet et un logo. Les éléves sont totalement dans le jeu. Il y en a même d’autre qui les rejoignent. Une nuit ils vont jusqu’a taguer leur logo partout dans la ville. Mais il commence a voir des désaccord. Un éléve trouve que sa va trop loin, elle veut dire que sa va trop loin mais on l’en empeche et l’exclue du groupe. Lors d’un match de water-polo ils vont jusqu’a faire rentrer qu’eux ceux qui ont unntee-shirt blanc, celui de la communauté, quand a ceux qui n’en ont pas, ils leur bloque le passage, sauf bien sur ceux de l’autre équipe. Karo, l’éléve qui veut que tout s’arrete arrive a rentrer et distribuer des papier pour dire ce qui ne va pas. Cela fait distraction, deux joueurs en profitent pour se battre. L’un des deux fait partie de la Vague, il va jusqu’a couler l’autre joueur. Le professeur intervient a temps. Karo qui veut que tout sa s’arrete se dispute avec son copain qui en fait toujour parti. Il l’a frappe et court chez M.Winger et lui demande de tout arreter car il se rend compte que sa été trop loin. Rainger convoque tous les éléves au lycée a midi pour leur parler. IL commence a leur lire des textes que les éléves ont écrient sur ce que la Vague leur avait apporté. Mais l’éléve insiste en disant que sa va trop loin. Le professeur demande qu’on l’amene devant et l’appelle le traitre. Il va demander aux éléve qu’est ce qu’il doivent lui faire. Enfin de compte il fait tout sa pour leur prouver qu’une dictature en Allemagne est encore possible et leur dit que c’en est fini pour la Vague. Mais Tim, l’éléve le plus perturber ne veut pas que tout cela se finisse et sort une arme a feu. Personne ne croit que c’en est une jusqu’a ce qu’il tire sur l’un deux et le blesse. Rainger le persuade de baisser son arme, mais au dernier moment il la dirige vers lui et se tue. Tout le monde est évacuer, l’éléve blessert transporter a l’hopital et le professeur va en prison.

Je trouve que c’est un film plutot bien et qui montre comment un simple projet peut vite tourner au drame voir au cauchemar et a la souffrance pour certaine personne . Sa montre aussi qu’il ne faut pas toujours tout prendre au premier degres et savoir faire une distinction entre la vie privée et ce qu’on fait en cours. Et a travers se film, on comprendre aussi que, dans la politique, tout peut tres vite changer et faire vivre au gens un enfer.

 

Cyrano de Bergerac Acte I mars 15, 2010

Filed under: Théatre — floraline86 @ 2:00
  1. L’action se passe à Paris dans l’hôtel Bourgogne
  2. Ligniere accompagne Christian pour le présenter a celle qu’il, Christian, aime.
  3. Ragueneau cherche Cyrano dans la salle de théâtre.
  4. Roxane est la cousine de Cyrano et elle est orpheline et libre.
  5. Parce que Lignière est parti ignorant que cent hommes veulent se battre contre lui porte de Nesle.
  6. Il veut que Montfleury quitte la scene car il lui a interdit de jouer pendant un mois.
  7. En jetant sa bourse sur scène, ce qui fait que Bellerose et Jodelet satisfait de ce que vient de donner Cyrano demande l’évacuation de la salle.
  8. Il lui dit qu’il a un nez très grand
  9. Il compose un poème (une ballade)
  10. Comme l’avait dit Cyrano, a la fin de son poème, il touche le Comte de Valvert.
  11. Parce qu’il l’a lancer sur scene quand Bellerose a demander comment rendre l’argent.
  12. Pour deux raisons : la premiere, il trouve qu’il joue mal et la deuxieme, parcequ’il a ausé regarder celle que Cyrano aime.
  13. Parce qu’il a peur qu’elle ne veuille pas prendre, ne serait-ce qu’un verre avec lui a cause de son nez.
  14. On ne sait pas avec qui exactement il a rendez vous mais une Duègne vient le prévenir que quelqu’un veut le voir.
  15. Il va défendre Lignière en se battant a sa place.
 

Résumer du Livret rouge février 3, 2010

Filed under: Rédaction de résumé — floraline86 @ 9:10

Nisias, une ville de de Sicile, en bord de mer. Le village est construis sur la plage et au grand air, sur le plateau, est placé le cimetière. Les maisons sont toutes tassées les unes sur les autres, puante avec des poules des gorets et de temps en temps un âne. A Nisias, les femmes ne travaillant pas font des enfants. Douze, quatorze voir seize. Mais malheureusement n’arrivent en élevé plus de trois ou quatres, sans parler de ceux qui décede au bercail. Losqu’une mère perd un enfant, elle va a l’hospice des enfants assistés, prend un nourrisson, qu’escorte un livret rouge de six franc par mois. Ces livrets rouges c’est la fortunes des Maltais. En échange d’un livret rouge ils fournissent deux cents lires de marchandises : un trousseau de mariée. A Nisias, toutes les filles se marient grace a ce fameux livret rouge. Marenga Rose est la plus connu des Maltais. Cela fait plus de vingt ans qu’elle les alimente de livret rouge qu’elle accumule. Elle a élevé quatre filles dont trois sont mariées. La quatrième est fiancé. Mais vu l’état de son apparance, un tas de chiffons, tous les Maltais, qui lui avait fait crédit pour les trois grandes, lui on refusés pour la dernière. Mais elle a reussi a trouvé un Maltais de seconde catégorie, qui est d’accord pour le faire crédit d’un trousseau de 140 au lieu de 200 francs, ce qui est assez car les parents du fiance ont accepter et on décider les époussailles. Maintenant un nourrisson affamé hurle du matin au soir. Tuzza, le fille de Rose Marenga, rit, coud son trousseau et de temps en temps tire la ficelle du berceau qu’elle balance. Elle est bien obliger de supporeter cet accompagenement de cris désesperer car si elle n’avait pas a se marier sa mere n’aurait jamais repris un autre nourrisson car Rose Marenga a si peu de lait. Le soir, le fiancé vient apres sa sortie de travail. Et si il fait beau, la mère, la fille et le fiancé vont se promener sur le plateau respirer au clair de lune. Pendant ce temps le nourrisson reste seul a hurler suspendu dans son berceau. Ses cris incessants incommmode les voisins, même le goret et les poules en ont marre des ses hurlement qui ne cesse jamais. Quand Rose Magenta rentre avec sa fille et le fiancé de celle si, ils trouvent un grand calme dans la maison. Le petit se serai endormi. Rose demande de ne pas faire de bruit car le petit nourisson se réveille au moindre bruit. Mais se soir la quand le mari de Rose rentre ivre du bar, comme tous les soirs, le petit ne se reiveil pas. ROse Magenta s’en approche et tend sa main vers le poupon, et la elle pouse un hurlement, le petit es mort. Elle crie a Tuzza de déacher une corde du berceau. Quand les voisins arrivent, attirer par les cris, elle raconte que le petit est tomber et qu’il est mort. Toute la nuit elle hurle et pleure. Le jour lever, le maltais vient pour récuperer toutes les marchandises qu’il avait preter sur crédit mais Rose n’est pas d’accord. Elle court chez le maire, l’adjoint et le medecin de l’assistance pour qu’on lui redonne un autre nourisson. Elle revien le soir, quand la nuit commence à tomber. Alors qu’on emmener le pei corbillard pour l’enterrer, Rose hurle de joie, un aure nourisson dans les bras.

 

Résumer de La maison Tellier 2 janvier 20, 2010

Filed under: Rédaction de résumé,Uncategorized — floraline86 @ 9:11

Madame venait d’une famille de paysan dans l’Eure. Avec son mari, elle vint a Fécamp pour reprendre une maison de prostitués. Entretenu dans la mollesse et l’immobilité de son nouveau travail, M. mourut deux ans plus tard. Depuis qu’elle était devenu veuve Madame était très désirer par tous les habitué mais elle restée très sage et personne dans l’établissement venait a découvrir quoi que ce soit sur elle, même pas les filles.De temps en temps, Madame emmener une partie des filles a la campagne, alors c’était des parties de jeux enfantins que l’on découvrait au grand air. Madame était connu aussi pour sa mansuétude et complaisance.La maison était petite et jaune avec deux entrée. Une qui était un café pour les gens du peuple et un étage pour les bourgeois de la ville. A l’étage travaillaient trois dames : Fernande, grande, presque obèse et molle représentait la belle blonde. Il y avait aussi Raphaël, la Marseillaise était maigre et représentait la belle juive. Puis Rosa était petite boule de chair avec de minuscule jambes était celle qui chantait du matin au soir. Au rez de chaussée qu’était le café, y travailler deux femmes Louise surnommé Cocotte et Flora, Balançoire autrement appelées les deux Pompes. Comme chaque soir les habitués commencèrent a arriver. Le premier fut M. Poulin qui se retrouva face à une porte close. Même la petite lanternne était éteinte et c’était le plus grand calme a l’intérieur. Sur son chemin de retour il rencontra les autres habitués mais ils ne purent campés la car tout un groupe de matelot français et anglais arrivés, donc pour ne pas être vu, ils enfuirent pres de la jetéé et s’alignèrent sur le parapet. Ils firent un tour a pieds pour revenir enfin de compter sur la place du marché. C’est alors que des disputes éclatérent. Colère M. Pimpesse se retira du groupe. Les autres étaient encore de se disputait quand ils entendirent les matelots arrivés. Ils se cachèrent alos tous pour ne pas être vu. Eux par contre virent les matelots se dirigés deux par deux vers l’abbaye. Tous les bourgeois finirent finalement par partir chacun de leur coté. En restait qu’un, M. Tournevau qui ne comprenait absolument pas pourquoi la maison était fermée. C’est a ce même moment qu’il trouva un écritau sur la porte qui disait:  » Fermée pour cause de premiere communion ». C’est le frere de Madame qu’il a invité pour la communion de sa niece, c’est pourquoi la maison es fermée, car Madame ne voulait pas qu’il y ai des disputes entre les filles pendant son absence, c’est pourquoi elle les a toues emmener avec elle.  Seul Fréderic eu sa journée jusqu’au surlendemain pour faire ce qu’il voulait. Elles partent toute samedi  matin par le rain express de huit heures. Dans le train elles renconre un jeune homme qui leur offre a chacune une jarretieres. Quand elles arrivent a destination, elles trouvent M. Rivetvdans une charette et les attend. Pendant la route elles durent se tenir ou elles pouvait car les chaises sur lesquelles elles étaitent bougeais dans tous les sens. Quand elles arrivèrent chez le menuiser, une certaine heure sonnée. Comme Madame et ses filles arrivées vers midi, Mme Rivet les invita a manger. Elles demandèrent ou été la petite, mais puisqu’elle était  a l’église et ne rentrerai que le soir, les demoiselles déciderent d’aller faire un tour dans le village ce qui créa une exitation sur leur passage. Après le diner M. Rivet les réparties deux par deux dans chaque chambre. Il n’y eu que Rosa qui fut toute seule mais recueillie la petite qui pleurait dans son lit. Le lendemain, tout le monde fut reveiller a cinq heures du matin, l’heure de l’Angelus. Alors tout le monde en profita pour se préparer a la communion. Quand elles arrivèrent dans l’église, tous les regards se tournèrent vers elles. Pendant la cérémonie, Rosa se mit a pleurer ainsi que Louise et Flora puis toute l’assistance fut prises d’une forte émotion qui fit sangloter tout le monde. Au moment de la communion des enfants, tout le monde redevint calme. A la fin de la céremonie le pape remercia l’assistance d’avoir permi a Dieu d’être present en cette journée si particuliere pour les enfants. Toute la maisonnée rentra pour manger chez le menuisier. tout le monde se depecher car Madame voulait rentre en fin d’apres midi.  Madame croie que les filles sont en train de préparer leur affaires et M. Rivet en train de préparer la carriole. Mais lorsqu’elle monte aux chambre elle trouve M. Rivet essayant de violenté Rosa. Il est repouser par Madame Tellier. Elles montent toutes dans la carriole dans la direction de la gare, c’est l’heure du retour.Ce soir là, la maison est en fete pour feter en quelque sorte le retour de ces Dames, les habitués sont la.

 

Résumer de Sherlock Holmes 2 janvier 14, 2010

Filed under: Uncategorized — floraline86 @ 2:05

Nous sommes a Baker Street, et je me souvient de l’entrée du docteur Huxtable dans le bureau de Holmes comme si c’était hier. Le premier geste qu’il fit lorsque la porte se referma derrière lui fut de s’avancer vers le bureau pour s’appuié mais il s’écroula sur le tapis. Holmes lui glissa un coussin sous la tête et moi du cognac entre les dents. Holmes trouva un billet de retour vers le nord de l’Angleterre, Mackleton exactement. Quelques instant plus tard, il était debout. Il nous demanda de bien vouloir l’excuser de ce petit malade et réclama a Holmes un verre de lait et un biscuit quand il vint a discuter de la raison de sa visite si inattendu. Le docteur nous annonça la disparition du fils du duc d’Holdernesse. Holmes regarda dans l’encyclopédie H ce qu’ils nous été dit  sur le duc d’Holdernesse. Il me regarda et m’affirma que nous accompagnerons le docteur pour son retour dans le nord. Quand notre visiteur repris de la couleur il nous expliqua la situation:

« L’enfant arriva a l’école du Prieuré le premier mai. Si il s’était retrouver dans cette école c’est parce que le père du petit et la duchesse s’était séparer et que le petit préférer aller avec sa maman. N’étant pas heureux chez lui, son père nous l’envoya. Mais je peux vous dire qu’au bout de quinze jours l’enfant ce sentait entièrement chez lui. Le 13 mai au soir nous le voyons pour la dernière fois. On a constater sa disparition le lendemain matin a 7heures. Il n’a pu partir que par sa fenêtre qui était ouverte, a l’aide d’un gros lierre qui descend jusqu’en bas. C’était la seule issue possible car pour accéder a sa chambre il faut passer par une autre et les deux élèves qui y dorment on affirmer n’avoir rien vu, ni entendu. Dés que la disparition fut découverte je fis rassembler tout l’établissement, élèves, professeurs et domestique. C’est ainsi que l’on découvrit qu’il n’avait pas fui tout seul. Le professeur Heidegger manquait a l’appel. C’était un professeur d’allemand. »

Holmes posa plusieurs questions, notamment sur l’enquête, les relations entre le professeur et l’élève,comment sont ils partis… Il demanda aussi les relations entres lord Saltire et le duc. Celui ci avait envoyer  une lettre a son fils la veille de sa disparition, mais en n’avait point reçu de France et n’avait eu aucune visites. Le but de ses questions été de savoir si l’enfant avait été enlevé de force, ou partie de sa propre initiative. Sinon le deuxième possibilité est qu’il fut encourager de l’extérieur a partir. C’est pourquoi il essai de savoir qui sont ses correspondants qui, malheureusement ne sont pas nombreux car il n’y a que son père. Nous partîmes alors pour le Nord de l’Angleterre pour trouver d’autre indices.

Nous arrivâmes dans la soirée a l’école du docteur Huxtable ou nous furent accueillit par le duc et son secrétaire particulier M. Wilder. Ce fut lui qui ouvra la conversation d’un ton incisif et catégorique. Ils ne voulaient pas qu’on viennent, ou du moins que M. Huxtable les préviennent. Mais nous savions deja tout c’est pourquoi le duc nous permit de rester et de profiter de nos services. Holmes en profita pour poser quelques questions au duc sur ce qu’il pourrait savoir sur la disparition de son fils. Il lui demanda notamment s’il pensait que son fils ait pu envi de partir pour aller rejoindre sa mère, mais le duc n’y pensait pas vraiment même si, il reconnait que le garçon en avait envi. Le duc et M.Wilder partie, ce qui permit a Holmes d’aller enquêter dans les chambres. Il alla chercher des indices a l’extérieur aussi, il ne revint pas avant onze heures du soir.

Quand il arriva enfin, il posa une carte sur mon lit. Nous l’examina tous les deux et Holmes m’informa des informations qu’il avait pu recueillir. On pouvait éliminer la fuite par l’est car il y a un garde qui affirme ne pas les avoir vu. On pouvait éliminer l’ouest aussi car il y a une auberge qui a attendu un médecin toutes la nuit pour la patronne et la aussi ils affirment n’avoir personne passer. Ils nous rester le sud et le nord. On déduit vite qu’ils furent partie par le nord car le sud est une grande lande ondulée de petit champs séparés par des murs donc ils n’ont pas pu partirent par la avec une bicyclette. Le nord est la lande de Bas-Jabot d’une quinzaine de kilomètres en pentes douce. Nous étions encore en train d’examiner la carte quand on frappa a la porte. C’était le docteur Huxtable avec une casquette a la main. Elle a été retrouver dans la roulotte de bohémiens, qui expliquent qu’ils l’ont trouvée mardi et qu’ils n’ont jamais vu l’enfant.

Nous reprîmes les recherchent le lendemain. C’était une grande journée qui nous attendait. Quand je me réveilla, Holmes été déjà prêt il m’attendait, il avait surement déjà fait un tour dehors. Nous arrivâmes a la bordure verte du marécage qui nous séparer du château d’Holdernesse.  A cet endroit nous commençâmes a chercher des indices qui pourraient nous amener a lord Saltire.  C’est au bord du marécage qu’Holmes trouva des traces d’une bicyclette mais ce n’était pas celle du professeur. Il y avait aussi des traces de vaches qui recouvrèrent a un moment la trace de bicyclette que nous suivions. Après s’être quelques minute pour réfléchir,Holmes se leva et décida d’aller examiner l’autre partie du marécage que nous n’avions pas encore examiner. Et la il poussa un cri de joie, au sol il y avait de fine trace qui ressemblais un fin réseau de fils télégraphique. Mais non !! C’est des traces de pneu Palmer, celle de la bicyclette du professeur d’allemand. Nous suivâmes les traces pendant un moment même si par moment on perdait la trace. On la retrouver toujours apres. Au bout d’un moment nous découvrâme un longue trace. Il était tomber. Holmes me montra une branche d’ajonc tout froiser. J’y aperçu avec horreur des taches écarlates. Sur le sol il y en avait aussi. C’était du sang caillé. sa avait du mal tourné  pour M. Herr Heidegger. Il ne pouvait plus nous échapper maintenant. Et effectivement les recherches ne durerent pas longtemps. Parmi les touffes de jonc, j’aperçu un éclair de métal. On retira des buissons une bicyclette avec une pédale tordu et l’avant tout abimé.  Plus loin, nous trouvâmes un soulier qui dépasser des buissons. Nous nous en approchâme et découvris un cadavre qui avait reçu un coup tellement violent que sa lui avait défoncer le crane.  Le malheureux ne portait pas de chausettes et avait une chemise de nuit. C’était le professeur d’allemand. On en était sur car en partant il n’avait pas pris le temps de s’habiller. Sur de notre découverte nous envoyons un mot au docteur Huxable pour que lui puisse prévénir la police. En trouva le corps du professeur, nous en deduisions que le petit n’avait pu partir seul vu le coup que le professeur avait reçu a la tête. Le lord Saltire n’était pas seul, quelqu’un l’accompagné et avait tué le professeur. Nous continuâme nos recherches a partir des autres traces de pneus que nous avions trouver mais nous les perdîmes au bout d’un certain temps. D’ou nous nous trouvions, nous  pouvions apercevoir la plus haute tour de chateau. Plus bas il y avait une auberge avec un coq sur la pancarte. Nous étions en direction de l’auberge quand Holmes s’agripa a mon épaule en pousant un petit gémissement. Il venait de se tordre la cheville. Malgré sa douleur, nous continuâmes le chemin. En arrivant devant l’auberge, nous nous retrouvâme devant homme figé qui fumait sa pipe. Holmes ne pouvant posai le pied a terre demanda a M. Ruben Hayes, le patron de l’auberge, si il n’avai pas une bicyclette, ou une voiture. Malheureusement il n’avait rien de tout sa, juste des chevaux. La nuit commencait a tomber donc nous decidâme de manger sur place. La Holmes trouva la solution au probleme des nombreuses trace de vaches nous avion rouver au marecage. Ce n’éait pas des vaches mais des chevaux avec des sabots de vaches, il vient a cette conclusion car les traces laisser n’était jamais les même, signe qu’il y avait un changement de rythmes dans le pas des vaches ce qui es impossible, donc la conclusion est que se sont des chevaux. Mais pour vérifier out cela nous fîme un tour dans l’écurie ou nous rouvame deux cheveux avec sous les sabos de vieux fer mais avecde nouveau clou, ce qui paraissait louche. Mais nous nous faisons surprendre par M. Hayes qui nous força de partir avec un fusil a la main. Donc nous reprime la route a pieds. Quand on fu en de porer du regard de Hayes on sortie de la roue et on se cacha car quelqu’un arriver en velo. Holmes le reconnut ! C’était le secréaire du duc, M. Wilder.  Il s’arreta a l’auberge et y entra. Nous, nous nous mirent a  un endroit d’ou l’on pouvait voir l’entree de l’auberge mais pas les visages des personnes a l’interieur. Plus tard une voiture parti en direction de Chesterfield. Puis quelqu’un arriva par la route a pieds. Il avait rendez-vous avec quelqu’un de l’auberge. Au premier étage s’allume et nous ne pouvions pas voir qui étais-ce. Nous profitions qu’il n’y ai plus personne pour nous approcher. Holmes grata une allumette pour mieux voir le pneu. Sans surprise c’éait un pneu Dunlop. Le pneu qui avait laisser des traces au marecage. Holmes me demanda de lui faire la courte echelle pour voir a travers la fenetre. Quand il redescendi nous nous remires en route.

Le lendemain nous nous rendime au chateau pour parler au duc. Nous attendions une demi heure avant de voir apparaitre le duc et de pouvoir lui parler. Je demanda aussi que M. Wilder parte pour pouvoir parler seule a seule au duc et avec Holmes bien sur. Nous lui annoncerent que nous savions ou ete sonfils et qui l’avée kidnaper. Mais avant de ou lui expliquer, Holmes demande le cheque de recompense comme avait promi le duc. Le duc accepe et lui fait un cheque de 6 milles livres.  Le cheque empocher, Holmes annonce au duc que son fils est a l’auberge diriger par M. Hayes. Holmes va jusqu’a dire que lui même est complice dans cette histoire et qu’il le savait. Il en profite aussi pour lui dire que nous avions prevenu la police et qu’ils sont reussis a retrouver M.Hayes et qu’ils l’ont arreter. Le duc avoue, effectivement il est au courant, il nous dit même que c’est un chantage de M.Wilder qui est en fait son fils illigitime. Il nous raconte toute l’histoire:

« M.Wilder, jaloux que ce ne soit pas l’heritier, kidnappe Arthur, Lord Saltire, en lui dissant que sa mere est la et qu’il peut la voir Dans les marrecages. C’est pourquoi il est partie de l’école. Il m’a dit que je pourait revoir Arthur que si je faisait de lui mon héritier légitime. C’est aussi a cause de Wilder que mon ménage a mal fini. Mais je ne pouvait pas separer de lui car il me rappelle sa mere, ce qui prolonge ma douleur. Enfin quand Wilder a appris que Hayes avait tuer le professeur d’allemand, il est venu tout m’avouer et m’a permi de voir le petit Saltire a l’auberge ou l’avait enmenner Hayes. Quand il m’a tout avouer c’est au moment ou Hayes c’est enfui. »

Mais Holmes lui rappelle que indirectement c’est lui qui a fait liberer Hayes en donnant de sa propre bourse de l’argent. Nous faisont appeler quelqu’un pour aller cherhcer le petit lord Saltire en attendant que nous finissons de regler cette histoire. Le fils du duc est liberer, nous ne disons rien a la police et en contre partie nous enpochons le cheque de récompense promi par le duc.

 

Résumé de La maison Tellier janvier 4, 2010

Filed under: Rédaction de résumé — floraline86 @ 3:12

Mme Tellier est veuve et  tient un bordel. Un soir cette maison fut fermée car Madame et les filles du partirent a Virville dans l’Eure, chez le frère de Madame qui était menuisier, pour la première communion de la nièce de celui ci. Les hommes, qui avaient l’habitude d’y venir, furent furieux de cette fermeture si soudaine. Les filles prirent le train dans lequel elles rencontrent un homme qui offrit une jarretière a chacune.

Elles arrivèrent enfin a Virville, après un changement de gare, ou les attendait M. Joseph Rivet avec une grande charrette. Elles traversèrent la campagne verte avant d’arriver devant la porte du menuisier.

En arrivant elles voulurent voir la petite mais comme elle n’était pas la et ne rentrerai que le soir, les filles deciderent d’aller faire un tour au village apres le repas. Lorsqu’elles passérent devant l’église elles attendirent les enfant chanter. Une fois le tour de la campagne finit, M. Rivet ramena tout son petit monde chez lui et les installa pour la nuit. Elles dormirent deux par deux, sauf une qui se retrouva seule dans un petit cabinet,mais une fois coucher entendie la petite pleurer alors elle alla la chercher et la dorleta jusqu’au lendemain ou elle furent toutes réveiller par l’Angelus a cinq heures. Dans le village tous le monde se preparaient pour les communions qu’il y allaient avoir durant la matinée. Même des habitants de village voisins venaient et formaient le long de la route une double lignes de villageois comme une sorte de haies d’honneur pour les enfants et les familles. Chez le menuisier toute s’occuper a habiller l’enfant. Une fois la petite coiffée, le visage debarbouillé et vetu on la fit asseoir et on lui ordonna de ne plus bouger pendant que toutes ses dames aillent se préparées elles aussi. Et lorsque l’église se remi a sonner tous le village se dirigea vers l’église. Et quand toute la troupe de Mde Tellier apparut dans le village, cela eut un effet foudroyant.

Dans l’église les enfants entonnérent un choeur avec les filles d’un coté et les garçons de l’autre et dans leurs mains se trouvaient de grands cierges. La cérémonie se deroula avec des bref discours du pretre et des chants. Dans l’assistance régnait une grande émotion. Cela leur rappellait, notamment aux filles de Mde Tellier, ainsi qu’elle même, leur premiere communion a eux. Ce qui les fit tous pleurer. Mais au bout de quelque instant ils se calmèrent. Une bonne soeur donna le signal de la communion, les enfans s’approcherent de la table sainte. La fin de la ceremonie se fit attendre avec impatience. Et lorsqu’enfin tout cela se finit deux haies se forma pour accueillir les enfants. Chaque famille se précipita de récuperer leur enfants.

Le repas fut servi dans l’atelier sur de grandes planches. La porte ouverte laisser entre voir oute la joie du village et tous le monde se régalaient.Mais chez le menuisier, seul M. Rivet buvait alors que Mde Tellier regardai l’heure a out moment pour ne pas louper leur train car elle ne voulait pas ne pas  travailler deux jours de suite mais son frere voulai que ous le monde reste encore du moins jusqu’au lendemain.

Sur le chemin du retour, elles se laissérent emporter par la joie etse mirent a chanter de vive voie durant tout le trajet. Partout ou elles passaient on les regardaient. Devant la gare, M. Rive exprima son regretvqu’elle partent mais Mde Tellier ne laissa pas influencer en lui répondan que l’on ne pouvai pas que s’amuser et qu’il fallait travailler. Et elles monérent dans le train et dormirent jusqu’a l’arriver chez elles.

Elle soupérent rapidemment et miren leur habis habituel et aendit les cliens réguliers. La nouvelles que le bordel eai rouvert se répandi tres vite. L’eablissement avait un air de fête, ce qu’ils firent tous jussqu’a res tard la nuit ou tres tôt le matin. Enfin le rai train habituel avait repris son cour.

 

Résumer de L’école du Prieuré novembre 20, 2009

Filed under: Rédaction de résumé — floraline86 @ 11:15

L’école du Prieuré c’est une aventure de Sherlock Holmes. C’est le docteur Thorneycroft Huxtable, qui vient chercher Sherlock Holmes pour une affaire de disparition. C’est la disparition du fils unique du duc d’Holdernesse. Ils partirent donc tous les trois (Sherlock Holmes, le docteur Watson et le docteur Thorneycroft Huxtable) pour le nord de l’Angleterre, là ou a eu lieu la disparition.

 « Il est de notoriété publique que le duc n’a pas été heureux en ménage et que cette union s’est soldée par une séparation d’un commun accord, la duchesse ayant choisi d’aller résider dans le midi de la France. Ce fait venait de se produire tout récemment et les préférences du garçon allaient notoirement à sa maman. Il se montra taciturne après qu’elle eut quitté le château d’Holdernesse et ce fut pour cette raison que le duc voulut l’envoyer à mon établissement, nous dit le Dr Thorneycroft Huxtable, son absence fut découverte à sept heures du matin, le mardi. Son lit était défait. Il s’est habillé complètement avant de partir dans la tenue habituelle de l’école : pantalon gris et veste d’Eton. Dès que fut découverte la disparition de lord Saltire, je fis aussitôt rassembler tout l’établissement – élèves, professeurs et domestiques. Ce fut ainsi qu’on constata que l’enfant n’avait pas fui seul. Le professeur d’allemand Heidegger manquait. »

Arrivés à l’école du Prieuré, nous rencontrâme le duc d’Holdernesse et M. James Wilder le secraitaire du duc. Monsieur Holmes lui possa plusieurs questions sur la mystérieuse disparition de son fils unique. A t-il une idée de qui a bien pu le kidnapé ? A t-il reçu une demande de rançon? La duchesse a t-elle pu commettre cette acte? La lettre que le duc lui a écri a t-il pu pousser l’enfant a un ace aussi absurde? Le  duc en avait aucune idée de tou cela, la seule chose qu’il savait, c’est qu’il voulait qu’on retrouve son fils. 

Se faisant tard on ne commença pas les recherches se soir la mais nous nous y mirent dès le lendemain. Sherlock fit quelques recherches pour savoir par ou ils avaient bien pu partir. Avec une carte, il a examiner les chemins possible qu’ils aient pris et par élémination, nous trouvâme le chemin qui nous emmena dans des près. Et la mauvaise surprise, il y a un corp, un corp sans vie.Qu’est ce qui c’est passé cee nuit du ludi 23 au mardi 24, cee nuit ou tout a basculé pour ce jeune Lord? Et qui est cette personne quise trouve la sans vie? Le professeur ou le jeune Lord ? Et si c’est le professeur d’allemand ou est l’enfant ? Qui l’a enmener? Est-il toujours vivant ou pas? Son père y est il pour quelque chose ou alors ce cher M. James Wilder qui le suit partout ? Sherlock Holmes et moi arriverons-nous, une nouvelle fois, à résoudre cette enquête. Le livre vous le dira…

 

 

 

La croisade de l’idiot novembre 16, 2009

Filed under: Exercice de lecture — floraline86 @ 4:06

Fiche de lecture:

1) Couverte de rochers stériles

2) Il attend les Fivers

3) Ce sont des extraterrestres

4)Tout d’abord il est question d’une autre planète qui n’est pas la Terre : cette planète présentait toutes les qualifications nécessaires pour servir de terrain neutre…,la Terre n’était plus en état de discuter…. Donc s’il s’agit d’une autre planète ou les hommes peuvent respirer (L’air glacé fendait comme une lame les narines du général.) sa ne peut être que le futur car de nos jours les hommes n’ont pas encore trouver de planète ou il était possible d’y respirer.

cette planète présentait toutes les qualifications nécessaires pour servir de terrain neutre et d’emplacement à un échange de prisonniers

5)

6)…rien ne pouvait donner matière à réflexions…ils étaient en droit de poser leurs conditions…pratiquement n’importe quoi…obligée de les agrées…besoin d’années a n’importe quel prix.

7) Il est nécessaire de négocier avec les Fivers car il y a des prisonniers, tant des Fivers que des humains, donc si chaque camps veulent retrouver leur prisonniers en bonne santé et vivant il est préférable de négocier.

8) Aux yeux du général, les Fivers sont des adversaires car ils sont probablement  plus fort que les Terriens, ce qui le terrorise surement.

9) Le titre qui pourrait convenir au texte est : Une attente angoissante, car le général attend les Fivers, mais le plus angoissant n’est pas d’attendre mais de ne pas savoir ce qui peut arriver, ce qui est le cas du général.

10) – La suite que je préfère est la 2nde: Les Fivers ne comprennent rien aux négociations et détruisent les Terriens, car les deux autres ne correspondent pas avec l’histoire. Avant il nous est parlé de négociations donc il se pourrait très bien que les Fivers ne comprenant pas ce que proposent les Terriens,ils détruisent car ayant fait preuve en quelque sorte, de gentillesse envers les humains, n’étant pas content, les Fivers les tuent.

– Alors que le général est avec les médecin, les Fivers arrivent enfin pour libérer les prisonniers humains en échange de leur prisonnier. Pas trop d’accord sur ce marché, le général en profit pour essayer une négociation, ce qui énerve très rapidement les Fivers qui se mettent facilement en colère. Voulant calmer les choses avant la catastrophe, le général propose le pacte d’amitié entre eux. Réfléchissant a cette idée, ils demande négociation. Le général accepte immédiatement, ne sachant pas ce qu’ils voulaient, en acceptant cette négociation, il donnait a la Terre un peu plus de temps pour se préparer a la deuxième manche qui arrivera un jour que personne connais. Les négociations sont en bonnes voies. Cela fait plus de 1h30 qu’ils parlementent entre eux. Certe par moment il y a des éclats de voie, mais vite calmée par une autre idée. Finalement ils tombèrent sur un accord après avoir échanger leur idées pendant un peu plus de 3heures de discussion. L’accord fut: Interdiction de déclarer la guerre l’un a l’autre, un accord de collaboration pour tout ce qui est d’invention technologique, et le plus important a leur yeux : un pacte d’amitié. Le lendemain, après une nuit de fête, pour fêter leur alliance, les Fivers laissa rentrer les Terriens sur la terre, pour retrouver leur famille, et leur amis. Depuis chaque année, environ a la même époque ou a été passer le pacte, Terriens et Fivers se retrouvent pour faire la fête ensemble. Le général avait même proposer que l’on construisent un État a l’honneur et pour les Fivers, qui de leur coté firent de même pour les Terriens. Car comme sa les uns pouvait aller chez les autres tout en ayant leur propre chez soi. C’est comme sa que la planète qui au départ n’avait aucune habitations ,fini par être habité par les Fivers car, parait-il, c’est la planète le plus proche de la Terre. Enfin tout finissait bien tant pour les humains que pour les Fivers car il n’y aurait plus jamais de guerres donc plus jamais de mort, ce qui en plus de leur amitié, les réjouissaient beaucoup. Finalement tout aller bien pour le meilleur de l’univers.